En 1978 Philippe Curval imagine le regard d'un nouveau-né sur un monde sans avenir.
Ecrite en 1978, cette nouvelle met en scène les pensées d'un nouveau-né, au XXIe siècle, sur le monde dans lequel il arrive. Atteint, comme tous ses congénères, d'un mal inguérissable qui le fait mûrir psychologiquement de façon fulgurante, puis qui doit le faire mourir, il exprime sa vision de la société, perdue dans sa soif de domination et de conquête.