Vous aimez vibrer devant un écran et sur NoLife ?
Vous êtes déjà has been.
Car l’industrie du jeu virtuel explose et avec elle, la course à l’extraordinaire. Exit les parcs à thème et les jeux vidéo ! Les joueurs se pressent dans des décors grandeur nature où ils rejouent en immersion totale la mort du général Custer ou la poursuite de Moby Dick.
Mais lorsque des joueurs disparaissent, comme rayés du scénario, les autorités de contrôle s’alarment. Défaut technique ? Mauvaise blague ? Attentat ? Les consommateurs sont sur les nerfs, et la psychose monte d’un cran lorsque les disparitions se multiplient.
Confrontée à une crise sans précédent, la Major américaine du Gaming virtuel décide de contre-attaquer en tirant profit de la confusion générale : geeks, bandits, maris infidèles, dépressifs et opportunistes s’enrôlent alors pour le grand saut de leur vie...
In cloud we trust n’est pas le récit d’une bande de geeks futuristes. C’est une percée dans la société de loisir de demain, portée par une écriture cinématographique et exaltante (grisante/électrisante). Avec ce roman, Frédéric Delmeulle donne des nouvelles du présent, mais surtout le vertige, celui qui colle dans le dos et fait naître des « et si » au coin des lèvres.