Le jour ou María, petite-bourgeoise de dix-sept ans, sèche son énième rendez-vous avec de jeunes marxistes, elle bouscule la vie tracée pour elle et se jette à la nuit : fêtes, drogues, amours multiples, rock et salsa. Dans la ville de Cali et l'effervescence des 70's, elle choisit l'errance – à la poursuite d'elle-même et d'un rêve insaisissable : celui d'une jeunesse absolue.
« Que viva la musica touche, à travers sa fureur sonore et ses spasmes, à la pureté, à l'intégrité, aux éternelles adolescences, ces moments de basculement qui se devraient de rester suspendus. »
Xavier Houssin, Le Monde des Livres
Traduit de l'espagnol (Colombie)
par Bernard Cohen