« Les morts ne sont pas seuls. Il y a quelque chose dans la brume qui leur parle. »
Maria écrit à sa mère depuis un sanatorium isolé. Elle relate dans ses lettres le quotidien morose qu’elle partage avec des aristocrates anglais au teint pâle et un mystérieux prince russe.
La fillette dévoile à sa mère les intrigues et les secrets de l’hospice, et lui révèle la présence d’inquiétantes silhouettes qui émergent des flots en bord de mer. Elle raconte aussi l’arrivée d’un trio énigmatique : le couple Pond accompagné d’un médecin loufoque. Mais Maria se garde bien de dire à sa mère ce que tout le monde pense tout bas : les gens viennent là pour mourir.