La fin approche. Dans quelques jours, les trois lunes s’aligneront et le dieu Tubilok ouvrira les portes de l’infernal Pratès. La Tramorée sera anéantie. Et c’est une coalition hétéroclite qui court contre la montre pour y faire obstacle.
Mais les dieux ne sont pas des dieux, et quelques audacieux, refusant le destin qui leur est promis, sont décidés à les affronter.
Agarta, c’est l’envers de Tramorée, c’est le monde à l’intérieur du monde, avec sa physique et sa géographie propres. Et c’est en Agarta désormais, sous les flammes rouges du Pratès, son soleil artificiel, que se retrouvent Kratos, Derguin et l’intraitable Togul Barok, les mages qui les protègent et celui qui peut-être les combat.
Magie et technologie se confondent, fantasy et science-fiction se rassemblent dans un univers où les héros sont condamnés à périr ou aller de l’avant.
Pratès conclut magistralement la « Chronique de Tramorée ». Javier Negrete s’y révèle comme un maître latin de l’imaginaire.