Traduit de l’italien par Jacqueline Malherbe-Galy et Jean-Luc Nardone.
Dans un palais fané de Venise, Schultz, éditeur au passé imprécis de capitaine de marine, mène une existence désenchantée. Mais un soir, à la lecture d’un énigmatique manuscrit, il se trouve projeté dans une aventure frénétique entre Londres et Venise au début du XIXe siècle.
D’abord intrigué par la passion ardente du jeune Jacob Flint pour la volcanique Nina, patronne de la Taverne du doge Loredan et maîtresse d’un gentleman contrebandier harcelé par deux corbeaux parlants, Schultz est bientôt fasciné par les étranges affinités qu’il se découvre avec le héros de papier.
Avec La Taverne du doge Loredan, petit chef-d’œuvre du roman d’aventures, Alberto Ongaro ravive la littérature de grands vents, à la Dumas, Conrad ou Stevenson.