L'allégorie réaliste d'une architecture de verre à l'échelle de la planète entière développe peut-être seulement, à travers la multiplicité de ses descriptions savantes et minutieuses, cette simple leçon d'émancipation : l'humanité peut survivre, malgré tout, si elle sait accepter sa "pauvreté" avérée, c'est-à-dire d'abord si elle sait se libérer de la passion des images de soi et des marques d'une puissance désormais dérisoire, si au-delà des propriétés, des clôtures, des replis et des capitalisations qui l'étouffent, elle parvient à inventer les formes d'accueil d'un Nouveau à venir, extérieur et mobile.