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Du Bleu Sur Les Veines

Tony O'neill

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Du Bleu Sur Les Veines de Tony O'neill
9.50 € Hors stock SE RENSEIGNER
Editeur : 13e Note
Collection : 13eme Note Edit - Parution : 09 février 2013
 
Résumé / Extrait :

Voici le portrait d’un jeune Anglais échoué à L.A. et dont la vie bascule sans transition de la scène musicale au quotidien des junkies et à l’univers de la rue. Au-delà du thème de l’addiction, Tony O’Neill évoque l’essentiel : notre capacité à rester honnêtes et authentiques dans un monde qui ne nous le permet plus vraiment. Notre héros a de gros soucis : une femme qu’il connaît depuis deux jours à peine, pas de job, pas d’argent et un budget stupéfiants ayant explosé depuis longtemps toutes les limites, dans un Los Angeles qui n’a jamais fait de concessions aux égarés. Mais là n’est pas le principal intérêt du roman. Oui, on y trouve des histoires de deals, d’amitié perdue, de souffrance, de sexe et de relations superficielles. Bien sûr il y a les motels pourris, les crises de manque, les cliniques de méthadone et la recherche permanente du high. Et non il n’y a aucun romantisme, aucune morale, et pas de retour des ténèbres vers la lumière. Mais ce douloureux et croissant besoin de dope, qui vous fait pactiser avec le Diable, est aussi une quête sans fin pour trouver un sens à sa propre vie. Et c’est ce qui propulse Du bleu sur les veines bien au-delà du traditionnel parcours fléché « addiction / rédemption ». L’aventure d’un musicien-écrivain qui cherche en lui-même ce qu’il y a de plus précieux : l’amour.
« C’est une belle journée. C’est toujours une belle journée à Los Angeles, de sorte qu’au bout d’un moment on n’y fait même plus attention – la monotonie de la perfection… Suzie et moi nous asseyons sur la pelouse, non loin d’un pochard endormi. Je me sens horriblement mal dans ma peau et dans mes os ; les pigeons crasseux qui nous entourent ont l’air de junkies en loques essayant de taxer de la mitraille. Dans l’herbe scintille une ampoule de crack vide, écrabouillée par les promeneurs – sentimentale poussière d’étoiles. Je perds mes dents et je suis crevé. »
Tony O’Neill, Notre Dame du Vide

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