Toujours en quête d’aventures extravagantes, le prince Florizel et son acolyte, le colonel Géraldine, font un soir la rencontre d’un étrange jeune homme, qui les convie à participer à une soirée au Club du suicide. Ils découvrent alors avec horreur et fascination une partie de cartes diabolique où le seul gain est… la mort. Originellement écrit en roman-feuilleton, ce recueil de nouvelles a conservé une force brut regorgeant de digressions, d’ellipses et de changements d’atmosphères qui a permis aux auteurs d’interpréter et d’imaginer des scènes entières, tout en restant le plus fidèle possible à R. L. Stevenson. Une réflexion teintée d’humour noir portée par la force visuelle et le symbolisme du récit.