En observant temporairement une trêve, Derek Sagan et les rebelles ont réussi à stopper les envahisseurs Corasiens. Le danger passé, ils s'affrontent à nouveau : les rebelles reprennent les hostilités et Sagan est plus déterminé que jamais à renverser un gouvernement galactique corrompu. Il entend faire du prince Dion le roi de la dynastie Clairfeu et tirer les ficelles dans l'ombre.
Mais, sur une planète lointaine, véritable antre de dépravation et de corruption, est cachée une arme terrifiante. Elle mesure à peine dix centimètres de côté et ressemble à un innocent cristal. Pourtant, une fois activée, elle pourrait déchirer la texture même de l'univers. Sagan veut s'en emparer, la belle lady Maigrey aussi, tout comme, bien sûr, Abdiel, le génie maléfique qui contrôle toujours son armée de possédés.
Au centre de cette lutte déterminante, Dion, s'il veut s'installer sur le trône, va devoir relever le plus grand défi qu'il ait jamais rencontré...
Margaret Weis, travaillant en tandem avec Tracy Hickman, s'est imposée avec les deux premières trilogies de « Lancedragon » (Fleuve Noir) avant d'accéder au chef-d'oeuvre avec « Les Portes de la Mort » (Pocket, 7 vol.).
Nous la voyons ici, pour la première fois, construire son propre scénario et développer des péripéties tout à fait renversantes qu'elle a manifestement testées dans des parties de jeu de rôles avec ses complices habituels avant de les écrire.
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